Arrondir le coup de pédale, c’est une définition de Jean-Baptiste Compan, une phrase qui caractérise les routes de Camargue par son plat pays dans le vent de tous bords, où pour avancer il ne faut jamais lacher la pédale.
C’est aussi des tracer de route formatrices pour créer une homogénéité de groupe, où l’on trouve vraiment l’intérêt de progresser ensemble afin de ne pas sombrer dans une galère.
Des routes étroites pour rouler en petit groupe, où j’ai vue les maillons faibles s’accrocher au train, pour progresser dans l’objectif de réaliser un raid en 6 étapes sur 1300km, de Clapiers à Collelongo (situé à 100km à l’Est de Rome), un aller en Vélo pour fêter un jumelage, le souvenir de la saison 2005 de l’AC Clapiers.
La Royale Camarguaise, une organisation idéalement placé dans le calendrier pour débloquer le début de saison.
Un rendez-vous dont je suis fidèle depuis ça création, par nostalgie de ma petite enfance entre Costières et Camargue sur les bancs des écoles de Gallician et du lieu-dit Pin-Fourcat en bordure du petit Rhône,(à 3km du bac du Sauvage).
Des routes que j’affectionne particulièrement pour y avoir réaliser des chronos en solitaire sur les 145 km que compose une boucle entre le départ d’Assas et le Bac du Sauvage, avec un passage dans les bouts droits de la route des rizières de Capettes :
Le rendez-vous de la Royale Camarguaise qui au départ donne l’envie de s’envoler dans l’euphorie du coup de pédale facile, pour au fil du temps et des kilomètres, fini par vraiment taper fort dans le mental.
Une gestion d’effort impeccable pour aborder la bonne saison des rendez-vous moyennes et longues distances.
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